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Revue d'Histoire de Monaco

Rechercher Jacqueline CARPINE-LANCRE

5 résultats

Résultats pour Jacqueline CARPINE-LANCRE

Article du Numéro 37 - 2013 - MARE NOSTRUM ? LE PRINCE ALBERT Ier DE MONACO ET LA MÉDITERRANÉE

Jacqueline CARPINE-LANCRE

Bien qu’héritier puis souverain d’un État riverain de la Méditerranée, le prince Albert Ier n’a pas d’attirance pour ce secteur géographique. Il éprouve une réserve à l’égard des peuples latins qui n’ont pas le dynamisme des pays du Nord de l’Europe. Néanmoins, jusqu’en 1882, il sillonne la Méditerranée occidentale et séjourne dans les pays riverains (Espagne, Italie, Afrique du Nord). Durant ses campagnes scientifiques, moins de vingt pour cent des opérations sont effectuées en Méditerranée. La coopération internationale, qui s’impose pour les travaux océanographiques dès le début du vingtième siècle, conduit, sous l’impulsion du Prince, à la création de la Commission internationale pour l’exploration scientifique de la mer Méditerranée.

Article du Numéro 39 - 2015 - MIROIRS DE LA PRINCIPAUTÉ. LES PAVILLONS DE MONACO AUX EXPOSITIONS UNIVERSELLES (1873-1913)

Jacqueline CARPINE-LANCRE

Au milieu du XIXe siècle, la Grande-Bretagne et la France organisent les premières expositions universelles des temps modernes. Le prince Charles III et François Blanc décident, d’un commun accord, de se joindre à ce « concert des nations » en 1873. Désormais, Monaco participe à la plupart de ces manifestations à travers l’Europe.
L’examen de ses pavillons et de ce qui y est présenté permet d’établir un reflet significatif de l’essor, non seulement économique, mais aussi culturel, artistique et scientifique de la Principauté. Il confirme les deux tendances mises en lumière par les études de plus en plus approfondies consacrées à ces rassemblements internationaux : la marche vers la modernité et l’affirmation de l’identité des nations.

Article du Numéro 40 - 2016 - BERTON (1846-1909) VS BERTHON (1872-1934). DEUX ARTISTES HOMONYMES LIÉS À MONACO

Jacqueline CARPINE-LANCRE

Une invraisemblable et inexcusable confusion a provoqué, il y a plusieurs décennies, l’« amalgame » de deux artistes français presque homonymes, qui ont eu quelques rapports avec la Principauté de Monaco. Paul Émile Berton, né à Chartrettes en 1846 et mort à Paris en 1909, a présenté chaque année des paysages à l’Exposition internationale des beaux-arts de Monte-Carlo, de 1894 à 1903. Paul Louis Joseph Berthon, né à Villefranche-sur-Saône en 1872 et mort à Sceaux en 1934, a réalisé deux affiches de librairie pour le livre du prince Albert Ier, La Carrière d’un navigateur. À la demande de la princesse Alice, il a exécuté des illustrations pour les programmes d’opéras présentés en 1900 au Théâtre de Monte-Carlo.

Article du Numéro 13 - 1989 - LE PRINCE ALBERT DE MONACO ET L'EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1889

Jacqueline CARPINE-LANCRE

Monaco prend part à l’Exposition universelle de 1889. La surface accordée à la Principauté est limitée mais l’emplacement bien situé. Le pavillon, édifié par Ernest Janty, et son jardin tendent à évoquer ce qui constitue l’image de Monaco : luminosité, couleurs, exubérance de la végétation. L’exposition permet, entre autres, de présenter le bilan des premières campagnes océanographiques du prince Albert. Les résultats obtenus, les instruments utilisés ainsi que la participation du prince à plusieurs congrès internationaux tenus durant l’Exposition, établissent son renom comme un scientifique de valeur.

Article du Numéro 42 - 2018 - Le prince Albert Ier de Monaco et le monde maritime : naufragé, sauveteur et protecteur

Jacqueline CARPINE-LANCRE

Une attirance précoce, irrésistible, pour la mer fait naître chez le prince Albert Ier de Monaco une vocation de navigateur. Elle ne se limite pas, comme la mémoire collective tend à la restreindre, à ses travaux scientifiques et à sa contribution décisive aux progrès de l’océanographie. Le nombre et la complexité des activités humaines liées au domaine maritime suscitent chez le prince de multiples initiatives.

Les « fortunes de mer », dans lesquelles, tour à tour, il joue le rôle de sauveteur et subit les épreuves du naufrage, le poussent à tenter de créer une Union maritime internationale destinée à combler les lacunes du droit international en matière d’abordages, de collisions et d’assistance maritime. Dès 1886, il se fait l’apôtre d’une gestion raisonnée des ressources vivantes marines. Des dispositions réglementaires et législatives, nationales et internationales, sont indispensables pour éviter toute surexploitation. Seules des études scientifiques peuvent conduire à une législation responsable, d’autant mieux si elles sont menées dans le cadre de commissions internationales, telles celles adoptées à Genève en 1908 pour l’Atlantique et la Méditerranée. Enfin, souverain d’un État littoral, le prince Albert Ier promulgue une vingtaine d’ordonnances souveraines et dote la rade de Monaco de constructions et d’infrastructures afin d’améliorer la configuration naturelle du site.

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